— Préserver le sol comme une ressource essentielle.

— Re-naturer les sols en réintroduisant de la végétation et la biodiversité à tout espace urbanisé (espace public et privé).

— Préserver les terres agricoles, les zones sensibles et riches de biodiversités.

— Construire à l’intérieur de la tâche urbaine (dents creuse, friche urbaine) avant d’envisager toute extension urbaine.

— Développer des aménagements permettant une régulation bioclimatique tel que les îlots de fraîcheur, l’évapotranspiration des espaces, les masques thermiques naturels des arbres caducs.

— Systématiser la gestion alternative des eaux pluviales à toutes les échelles : limiter les risques inondations, rafraîchir et préserver la ressource en eau.

— Viser à une autonomie de fonctionnement, une économie raisonnée, en faisant de la nature une alliée collaborative (cycles et rythmes saisonniers, comportements naturels, etc).

— Construire avec des ressources limitées : privilégier la sobriété, la qualité et les ressources locales.

— Analyse du cycle des produits : bon sens et matériaux sobres en production sont de mise.

— Rénover plutôt que détruire.

— Valoriser les traces du « déjà-là », le réemploi et réutiliser les déchets.

— Penser l’économie circulaire dans la gestion des déchets du BTP, des ménages et de l’entretien des espaces verts, …

— Animer des ateliers et des participations citoyennes sur des phases de diagnostic, en amonts des démarches urbaines et d’aménagements.

— Inventer avec les usagers et impliquer les futurs gestionnaires.

— Partager nos compétences et transmettre nos approches.

— Intégrer les personnes vulnérables dans le projet (handicap, personnes âgées, enfants, …).

— Faire vivre les « communs », place et tiers-lieux par des démarches de projets participatives et la fabrication d’espaces généreux et conviviaux.

— Redonner la place aux piétons.

— Promouvoir les déplacements doux par une ville à courtes distances à pied. Réduire l’impact et la place de la voiture en ville (organiser et structurer les mobilités motorisées).

— Proposer des formes urbaines bioclimatiques et à faible consommation énergétique.

— Veiller à la qualité des ambiances microclimatiques des quartiers.

— Encourager les nouvelles formes d’habiter : habitat participatif, coopératives, logements superposés, évolutivité des constructions, mise en communs d’espaces intérieurs et extérieurs…

— Conforter les polarités notamment sur les centre-bourgs et les zones périurbaines pour un meilleur maillage des services et des commerces de proximité.

— Réaliser des aménagements frugaux avec des plantations endogènes, une diversité d’essences, et le développement de sols perméables en milieu urbain comme en milieu rural.

— Penser une gestion économe des aménagements (plantations économes en eaux et en entretien, matériaux durables).

— Réversibilité de l’urbanisme.

— Refuser l’uniformisation.

— Anticiper les évolutions sociétales.

— Intégrer la transition écologique comme vecteur de projet.